Sublimation…

Ça date de quelques temps mais bon, faut bien commencer par quelque chose !

L’autre jour, Clerthur m’a dit qu’une copine lui avait dit (je sais, c’est un peu alambiqué comme intro mais bon, il faut bien rendre à César ce qui …) que si on réorientait toute l’énergie que l’on gaspille dans l’attente d’un copain (je parle des célibataires bien entendu) vers un but plus utile, on pouvait atteindre la sublimation. Et qui dit sublimation dit sérénité, et la sérénité c’est attractif.

Je lui ai répondu que cette énergie chez moi, ces derniers temps, elle avait du être dissipée dans la crève que j’avais choppée… et que j’étais morte de l’intérieur…
Mais je reprends vie, en essayant de vivre justement : le théâtre que je reprends, les sorties que je prévois, …

Mais c’est fou comme des impératifs matériels peuvent vous miner le moral rien qu’en vous prenant votre temps (je parle de mes partiels). Les seuls moments où mon esprit s’évadait, c’était pour voir ma situation : insatisfaite de mon état pourtant apparemment idéal…

Quand la fin de ces impératifs approche, je me remets à reprendre espoir : et si j’étais sur le point de rencontrer quelqu’un ?
J’arrête pas de me dire que je devrais penser à autre chose (pour atteindre la sublimation), qu’il n’y a pas que ça dans la vie mais…

Bref, je crois bien que les occupations principales d’une fille célibataire (quelque soit son âge, ma mère est pareille) restent les garçons, les fringues et la bouffe !

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